- La demande : Créer une série de visuels pour la communication des Domaines JC Coubris.
- Le concept : « Partout plaider le goût »
- L’idée : Rappeler la gestuelle de l’avocat dans les visuels
- Le défi : Obtenir des poses expressives et compréhensibles
Jean-Christophe Coubris s'engage dans le vin comme dans sa carrière d'avocat : le coeur droit et dévoué, prêtant serment au terroir familial, transmis depuis 1920, avec l'ambition d'en défendre passionnément la cause.
Pour capter davantage l'attention sur le site web, des séquences animées sont produites...
Plus qu’un simple gin, JUNE by G’Vine est une promesse : celle de prolonger indéfiniment l’été, grâce à ses saveurs délicieuses de pêches de vigne et de fruits mûris au soleil. Que vous l’aimiez pur ou en cocktail, ce gin fruité d’exception est une véritable parenthèse ensoleillée, qui vous rappelle les moments joyeux passés en famille ou entre amis, avec des pages vierges pour les nouveaux souvenirs à venir.
Ce décor imaginaire a été entièrement créé en image de synthèse. Plusieurs logiciels permettent de concevoir les différents éléments.
L'illustration de la nouvelle étiquette est très détaillée : éléments architecturaux caractéristiques de la propriété, vignes, arbres et surtout la tour emblématique du Château Haut-Batailley. Chacun de ces éléments vont être découpés afin de créer une composition en relief autour de la bouteille. Les matières de papier, le jeu des dorures et des gaufrages, etc... tous ces détails sont mis en valeur. A l'intérieur du cadre, on retrouve tout l'univers graphique de Haut-Batailley.
En 2017, alors que la propriété venait d'être acquise par la famille Cazes, la nouvelle étiquette n'avait pas encore été produite. Nous avons alors proposé de réaliser des images photo-réalistes de la bouteille, à partir des fichiers prévus pour l'impression, en image de synthèse.
En 2017, alors que la propriété venait d'être acquise par la famille Cazes, la nouvelle étiquette n'avait pas encore été produite. Nous avons alors proposé de réaliser des images photo-réalistes de la bouteille, à partir des fichiers prévus pour l'impression, en image de synthèse.
Le marché du Vin a beaucoup évolué ces dernières années : le Vin de Bordeaux est moins statutaire qu'auparavant et est soumis à une nouvelle concurrence grandissante. Le modèle traditionnel du métier de négociant est bousculé. Tout en s'appuyant sur la force de son savoir-faire et de son histoire, le négociant bordelais doit se résoudre à intégrer de nouveaux codes pour mieux anticiper l'avenir. L'ambition de ces images est d'accompagner ce discours.
Pour créer cette image, nous décidons de nous appuyer sur les codes de composition des natures mortes anciennes tout en cherchant à y apporter un traité contemporain. On retrouve une composition d'objets, qui dressent un portrait du métier, mais l'aspect réel des matières n'est pas respecté : leur teinte et leur texture sont uniformes. Seul le vin, au coeur de l'image, conserve son apparence naturelle.
Afin de pouvoir proposer un choix infini dans la forme des objets et leurs textures, d'ajuster l'éclairage et la composition autant de fois que nécessaire, bref pour être autorisé à changer d'avis... nous décidons de concevoir ces images entièrement en image de synthèse. Chaque objet est modélisé et les textures sont créées sur-mesure. Les techniques évoluent, le métier aussi !
Composer avec le climat, anticiper les besoins de la vigne, doser avec justesse son assemblage... A la manière d'un acrobate, le viticulteur est amené à faire des choix, tout au long de l'année, pour réussir son millésime. C'est cette quête de l'équilibre parfait que nous avons cherché à illustrer à travers ces visuels.
La réussite d'une photographie dépend souvent de bien des artifices, plus ou moins sophistiqués. Dans ce cas, un simple ruban adhésif et du fil de nylon permet de créer l'illusion de la lévitation : chaque élément est suspendu. Le plus fastidieux est d'arriver à obtenir la composition la plus harmonieuse et la plus naturelle possible avec cette contrainte, un vrai jeu de marionnettiste !
Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée.